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Considérations relatives au contenu

Les chiffres de population du Recensement de 2006 pour une région particulière représentent le nombre de Canadiens dont le domicile habituel est dans cette région, quel que soit l’endroit où ils se trouvent le jour du recensement. Sont également compris dans ces chiffres tous les Canadiens qui demeurent dans un logement de cette région le jour du recensement qui n’ont pas de domicile habituel ailleurs au Canada, de même que ceux qui sont considérés comme des « résidents non permanents » (voir Notes). Dans la plupart des régions, la différence entre le nombre de résidents habituels et le nombre de résidents qui demeurent dans cette région le jour du recensement est minime. Toutefois, à certains endroits, notamment dans des régions touristiques ou de villégiature, ou dans celles où l’on trouve d’importants camps de travail, le nombre de personnes qui demeurent dans la région à n’importe quel moment pourrait être bien supérieur au nombre de résidents habituels dont il est ici fait mention. Les chiffres de population tiennent compte des Canadiens qui habitent dans d’autres pays, mais non pas des résidents étrangers qui habitent au Canada (la catégorie des « résidents étrangers » ne comprend pas les « résidents non permanents » [voir Notes]). Compte tenu de ces divergences, les utilisateurs ne doivent pas déduire que les chiffres de population correspondent au nombre de personnes qui habitent dans les logements déclarés.

Les chiffres des logements correspondent au total des logements privés et aux logements privés occupés par des résidents habituels au Canada. Les chiffres des logements du recensement ne comprennent pas les logements collectifs, qui sont des établissements commerciaux, institutionnels ou communautaires. Les résidents habituels dénombrés dans des logements collectifs sont toutefois inclus dans les chiffres de population.

Pour le Recensement de 2006, un logement privé se définit par : Un ensemble de pièces d’habitation conçues ou transformées qu’occupent ou pourraient occuper une personne ou un groupe de personnes. De plus, un logement privé doit être doté d’une source de chauffage ou d’énergie et doit fournir un espace clos permettant de s’abriter des intempéries, comme en atteste la présence de murs d’enceinte et d’un toit ainsi que de portes et fenêtres offrant une protection contre le vent, la pluie et la neige.

Des modifications sont apportées aux noms, limites et autres caractéristiques des régions géographiques (p. ex., des subdivisions de recensement peuvent fusionner ou il peut y avoir une annexion ou un changement de nom ou de genre). Étant donné que le cadre géographique est utilisé aux fins de la collecte des données du recensement, la date de référence géographique doit être fixée plusieurs mois avant la date du recensement pour que ces modifications puissent être apportées à temps. Pour le Recensement de 2006, la date de référence géographique était le 1er janvier 2006.

Les utilisateurs qui souhaitent établir des comparaisons entre les données du Recensement de 2006 et celles des autres recensements doivent tenir compte du fait que les limites des régions géographiques peuvent changer d’un recensement à l’autre. Pour faciliter les comparaisons, les chiffres du Recensement de 2001 sont ajustés au besoin pour refléter les modifications apportées aux limites dans l’intervalle séparant les recensements de 2001 et de 2006. Les chiffres de 2001 qui ont été ajustés sont marqués de la lettre « A ». La mention « A » peut également signaler des corrections aux chiffres de 2001; celles-ci découlent cependant, dans la majeure partie des cas, de modifications aux limites. Ce symbole est aussi utilisé pour identifier les régions qui ont été créées depuis 2001, telles que les municipalités (subdivisions de recensement) nouvellement constituées et les nouvelles localités désignées (LD).

On compte 1 289 localités désignées pour le Recensement de 2006. Pour la première fois, les localités désignées ne chevaucheront pas les frontières des subdivisions de recensement. On compte 584 subdivisions de recensement contenant des localités désignées.

Vous trouverez dans la publication intitulée Classification géographique type de 2006, volume I (no 12-571-XPB au catalogue), une description détaillée des modifications intercensitaires apportées aux unités géographiques.

Certains établissements indiens et certaines réserves indiennes ont fait l’objet d’un dénombrement incomplet pendant le Recensement de 2001 et/ou celui de 2006 (voir Notes). Cela est signalé à l’endroit où il est question de ces réserves ou de ces établissements dans les tableaux.

La superficie des terres correspond à la surface en kilomètres carrés des parties des terres des régions géographiques du recensement. Les données sur les superficies des terres ne sont pas officielles et servent uniquement à calculer la densité de la population. Les superficies des terres sont calculées d’après les limites des régions géographiques du recensement en vigueur le 1er janvier 2006 (date de référence géographique du Recensement du Canada de 2006).

Les données sur la superficie des terres sont dérivées de l’infrastructure de données spatiales (IDS) en utilisant la projection conique équivalente d'Albers. Les données sont calculées et entreposées en kilomètres carrés au niveau de l’îlot de base et sont exprimées en montrant huit décimales. (L’îlot de base (IB) est la plus petite unité dans l’IDS et est formé par l’intersection de rues et frontières de géographies normalisées qui ne suivent pas les rues.) Les données au niveau de l'IB sont ensuite agrégées au niveau de l'aire de diffusion (AD) et arrondies à quatre décimales près. Les données au niveau de l'IB sont agrégées individuellement à chacun des niveaux supérieurs de régions géographiques. Les données sur la superficie des terres présentées dans ces tableaux sont toutefois arrondies à deux décimales près.

Il importe de noter que même lorsque les limites des régions géographiques normalisées n’ont pas été modifiées dans l’intervalle entre les recensements de 2001 et de 2006, les superficies des terres peuvent ne pas correspondre à cause de mutations géométriques. Ces mutations sont causées par un changement au niveau de l’architecture de la base de données sous-jacente et une amélioration en terme de positionnement absolu de certaines rues.