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À propos des données

Comparaison historique des subdivisions de recensement (municipalités), 2001 et 2006

Il est possible que les limites et les noms des subdivisions de recensement (municipalités) soient modifiés d'un recensement à un autre. Afin de faciliter les comparaisons d'un recensement à l'autre, les données des subdivisions de recensement (municipalités) de 2001 ont été ajustées pour correspondre le plus étroitement possible aux limites de 2006 de ces régions.

Il n'a pas été possible d'ajuster les limites pour certaines subdivisions de recensement (municipalités). Par conséquent, il a été impossible de calculer la variation en pourcentage entre 2001 et 2006 et des données ayant trait à 2001. De plus, certaines subdivisions de recensement (municipalités) ont été partiellement dénombrées en 2001 ou supprimées. Il n'a toutefois pas été possible de calculer la variation en pourcentage entre 2001 et 2006 ou des données de 2001.

Comparaison historique des régions métropolitaines de recensement et agglomérations de recensement, 2001 et 2006

En 2006, les limites géographiques de quelques régions métropolitaines de recensement (RMR) et agglomérations de recensement (AR) étaient différentes de celles de 2001. Afin de permettre des comparaisons entre les données, les données des RMR et des AR de 2001 ont été ajustées le plus possible selon les limites des RMR et des AR de 2006. La correspondance n'étant pas parfaite dans certains cas, il est recommandé de faire preuve de prudence dans la lecture des données du Recensement de 2001.

Arrondissement aléatoire et répartitions en pourcentage

Afin de protéger le caractère confidentiel des renseignements fournis, on applique une méthode aux données du Recensement de 2006 qui consiste à arrondir de façon aléatoire les valeurs présentées dans les cases. Par conséquent, lorsque des données sont totalisées ou regroupées, la valeur totale peut ne pas correspondre à la somme des valeurs individuelles, étant donné que le total et les totaux partiels sont arrondis séparément. De même, la somme des répartitions en pourcentage, qui sont calculées à partir de données arrondies, ne correspond pas nécessairement à 100 %.

Résidents non permanents et l'univers du recensement

Au Recensement de 2006, les résidents non permanents sont les personnes d'un autre pays qui, au moment du recensement, étaient titulaires d’un permis de travail ou d’un permis d’études, ou qui revendiquaient le statut de réfugié, ainsi que les membres de leur famille vivant avec elles au Canada. Aux recensements de 1991, 1996 et 2001, les résidents non permanents incluaient aussi les titulaires d'un permis ministériel; ce permis a été supprimé par Citoyenneté et Immigration Canada avant le Recensement de 2006.

À partir de 1991, le Recensement de la population a énuméré les résidents permanents et les résidents non permanents du Canada. Avant 1991, seuls les résidents permanents du Canada étaient inclus dans le recensement (exception faite pour 1941). Les résidents non permanents étaient considérés comme des résidents étrangers et n'étaient pas dénombrés.

Le total des chiffres de population, de même que ceux de toutes les variables, sont touchés par ce changement apporté à l'univers du recensement. Les utilisateurs doivent faire preuve d'une très grande prudence lorsqu'ils comparent des données de 1991, de 1996, de 2001 ou de 2006 avec celles de recensements antérieurs pour des régions géographiques où la concentration de résidents non permanents est importante.

Présentement au Canada, les résidents non permanents forment un segment important de la population, en particulier dans plusieurs régions métropolitaines de recensement. Leur présence peut influer sur la demande de services gouvernementaux tels que les soins de santé, l'éducation, les programmes d'emploi et la formation linguistique. L'inclusion des résidents non permanents au recensement facilite la comparaison avec les statistiques provinciales et territoriales (mariages, divorces, naissances et décès) qui incluent cette population. En outre, l'inclusion des résidents non permanents permet au Canada de mieux refléter la recommandation de l'ONU, à savoir que les résidents à long terme (personnes demeurant dans un pays pour un an ou plus) soient dénombrés au recensement.

Même si tous les efforts possibles ont été déployés pour dénombrer les résidents non permanents, des facteurs tels que les problèmes linguistiques, la réticence à remplir un formulaire du gouvernement ou à comprendre l'importance de participer peuvent avoir influé sur le dénombrement de cette population.

Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le Dictionnaire du Recensement de 2006, numéro 92-566-XWF ou 92-566-XPF au catalogue.

Pour obtenir les chiffres des résidents non permanents pour 1991, 2001 et 2006, veuillez vous référer au tableau 97-557-XCB2006006 du Recensement de 2006.

Comparabilité des données de 2006 sur le lieu de travail

Le travail à domicile peut être mesuré de différentes façons. Dans le cadre du recensement, la catégorie des personnes travaillant à domicile comprend les personnes qui résident et travaillent au même endroit, comme les agriculteurs, les télétravailleurs et les travailleurs d'un camp de chantier. Par ailleurs, selon les instructions données dans le Guide du Recensement de 2006, les personnes ayant travaillé à domicile une partie du temps et à l'adresse d'un employeur le reste du temps devaient indiquer qu'elles avaient travaillé à domicile si elles avaient travaillé la majeure partie du temps chez elles (par exemple trois jours sur cinq).

D'autres enquêtes de Statistique Canada, telles que l'Enquête sociale générale, l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu et l'Enquête sur le milieu de travail et les employés, recueillent également des données sur les personnes travaillant à domicile. Toutefois, les données de ces enquêtes ne sont pas directement comparables à celles du recensement, étant donné que dans le cadre des enquêtes, les répondants doivent indiquer s'ils font une partie ou la totalité de leur travail rémunéré à domicile, alors qu'au recensement, ils doivent indiquer où ils travaillent habituellement la plupart du temps. Par conséquent, les estimations du travail à domicile tirées du recensement sont inférieures à celles tirées des enquêtes.

La présentation de la question sur le lieu de travail est demeurée à peu près la même pour chaque recensement depuis 1971. Cependant, en 1996, la catégorie « Sans adresse de travail fixe » a remplacé la catégorie « Sans lieu habituel de travail ». En 1996, le questionnaire du recensement a été modifié par l’ajout d’une case à cocher pour la catégorie de réponse « Sans adresse de travail fixe ». Lors des recensements antérieurs, les répondants devaient inscrire « Sans lieu habituel de travail » dans les zones réservées à l'adresse. Il semble y avoir eu un sous-dénombrement des personnes sans lieu de travail fixe lors des recensements antérieurs.

Les annexions, les incorporations et les fusions de municipalités pourraient rendre difficile l'établissement de comparaisons entre des unités et des structures spatiales qui changent dans le temps.

Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le Dictionnaire du Recensement de 2006, numéro 92-566-XWF ou 92-566-XPF au catalogue.