Portrait générationnel de la population vieillissante du Canada selon le Recensement de 2021

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Introduction

La population canadienne se compose de différentes générations de tailles diverses, chacune influençant la société en fonction de sa vision du monde, de ses caractéristiques, de ses valeurs et du stade où elle se situe dans le cycle de la vie.

Avançant en âge et passant actuellement de la vie active à la retraite, les membres de la génération du baby-boom ont aujourd’hui des besoins différents. Par exemple, leurs enfants pourraient avoir quitté le domicile parental pour vivre de manière autonome. La génération du baby-boom redéfinira peut-être la façon dont la retraite et la fin de vie sont vécues, elle qui, par rapport aux générations précédentes, a eu moins d’enfants, travaille plus longtemps, et a porté des valeurs différentes, comme l’autonomie^Note 2.

Les plus jeunes générations, comme les millénariaux et la génération Z, sont plus scolarisées et diversifiées que les générations précédentes. Encore jeunes, ces générations sont davantage exposées à la diversité ethnoculturelle, religieuse et de genre, et ont grandi dans un univers technologique et interconnecté qui a une incidence importante sur leurs valeurs et leur mode de vie (lien en anglais seulement). Ces générations constituent désormais une part considérable de la population en âge de travailler, entraînant ainsi des transformations sur le marché du travail.

Par conséquent, un regard générationnel sur la démographie peut être très utile pour comprendre les changements sociétaux actuels et futurs ainsi que pour comprendre les besoins dominants au sein d’une population, à mesure que les générations se succèdent aux divers âges de la vie.

Pour la première fois, les baby-boomers constituent moins du quart de la population canadienne

Les baby-boomers, soit les personnes âgées de 56 à 75 ans, continuent d’être la génération comptant le plus de personnes au Canada, malgré le fait qu’ils avancent en âge. Le Recensement de 2021 a permis de dénombrer 9 212 640 baby-boomers.

Toutefois, le poids démographique des baby-boomers dans l’ensemble de la population est en diminution. Pour la première fois, ils représentaient, en 2021, moins du quart (24,9 %) de la population canadienne. En comparaison, ils représentaient plus de deux Canadiens sur cinq (41,7 %) en 1966, soit à la fin de la période du baby-boom au Canada (1946 à 1965).

Le nombre de baby-boomers a diminué de 3,1 % entre 2016 et 2021 essentiellement en raison de la mortalité, cette génération avançant en âge et étant désormais plus concentrée aux âges où la mortalité est plus élevée. Les baby-boomers ont également dépassé aujourd’hui les âges où les immigrants arrivent en grand nombre au Canada. L’immigration n’est donc plus un facteur important d’accroissement de cette génération.

L’arrivée des baby-boomers aux âges plus avancés accentue progressivement les pressions sur le système de soins de santé et de soins à domicile, ainsi que sur les régimes de retraite, même si nombre de ces personnes font actuellement le choix de rester plus longtemps sur le marché du travail^Note 3. Les personnes les plus âgées de cette génération très nombreuse atteindront l’âge de 85 ans en 2031, âge où les limitations d’activités et la perte d’autonomie sont plus fréquentes.

L’article de la série Recensement en bref, intitulé « Portrait de la population croissante des personnes âgées de 85 ans et plus au Canada selon le Recensement de 2021 », permet d’examiner plus attentivement les tendances démographiques et en matière de logement de la population âgée de 85 ans et plus.

Figure 1 Les baby-boomers représentent un peu moins du quart de la population canadienne

Croissance rapide du nombre de millénariaux

Les millénariaux (personnes âgées de 25 à 40 ans) représentent la génération qui a crû le plus rapidement. Le nombre de personnes de cette génération a augmenté de 8,6 % entre 2016 et 2021, comparativement à 5,2 % pour l’ensemble de la population, en raison de l’apport plus important de l’immigration pour les millénariaux par rapport aux autres générations. Le Recensement de 2021 a permis de dénombrer 7 926 575 millénariaux.

Plus de la moitié des immigrants qui se sont établis au Canada de 2016-2017 à 2020-2021 étaient des millénariaux. Cela a contribué de façon importante à l’augmentation de la population de cette génération qui forme actuellement une part importante de la population en âge de travailler.

La génération X (dont le nom a été popularisé par l’écrivain canadien Douglas Coupland), aujourd’hui âgée de 41 à 55 ans, a atteint pour sa part 7 069 355 personnes en 2021, en hausse de 2,3 % par rapport à 2016.

Le nombre de personnes de la génération Z, âgées de 9 à 24 ans, a augmenté de 6,4 % entre 2016 et 2021 pour atteindre 6,7 millions de personnes. Il s’agit de la deuxième plus forte croissance démographique observée parmi toutes les générations.

Les générations grandiose, âgée de 94 ans ou plus, et de l’entre-deux-guerres, âgée de 76 à 93 ans, continuent d’avancer en âge de sorte que leur nombre a diminué au cours des dernières années. L’immigration ne contribue plus significativement à ces générations aujourd’hui très âgées, et seul l’effet de la mortalité vient modifier leurs effectifs.

Selon les données du Recensement de 2021, la génération grandiose comptait 135 560 personnes, et la génération de l’entre-deux-guerres, 2 716 910 personnes, ce qui représente une diminution de 67,2 % et de 20,8 % de leur nombre de personnes, respectivement, depuis 2016.

La génération Alpha, âgée de 8 ans ou moins, comptait 3 194 415 personnes en 2021. Elle est la seule génération qui bénéficie de la fécondité pour augmenter sa population.

Le nombre de millénariaux sera bientôt plus élevé que celui des baby-boomers

Selon les projections démographiques, les millénariaux pourraient devenir très prochainement (soit d’ici 2029) la génération comptant le plus grand nombre de personnes au pays, devançant pour la première fois les baby-boomers qui devraient occuper le premier rang jusqu’à ce moment^Note 4.

On estime que le Canada devrait compter 8 616 900 millénariaux en 2029, comparativement à 8 442 500 baby-boomers. Dans 25 ans (soit en 2046), il pourrait y avoir 2,2 fois plus de millénariaux que de baby-boomers (9 127 900 par rapport à 4 102 700). Les personnes de ces générations seraient alors âgées de 50 à 65 ans (millénariaux) et de plus de 80 ans (baby-boomers).

Le nombre de personnes de la génération Z pourrait pour sa part être supérieur à celui des baby-boomers en 2032 et à celui des millénariaux en 2045.

En raison de sa petite taille, la génération X n’aura jamais été majoritaire au cours de son passage dans les diverses étapes du cycle de vie. En 2036, au moment où sa taille devrait dépasser pour la première fois celle des baby-boomers, le nombre de millénariaux et le nombre de personnes de la génération Z pourraient déjà être bien plus élevés que celui de la génération X.

Tous ces changements s’expliquent notamment par le vieillissement des baby-boomers et l’apport de l’immigration, qui continuera de faire augmenter le nombre de millénariaux et de personnes de la génération Z pendant plusieurs années.

La fécondité de la population canadienne est en baisse depuis 2016 et a atteint un creux sans précédent de 1,4 enfant par femme en 2020. Une nouvelle baisse pourrait être observée en 2021, alors qu’une Canadienne sur cinq a l’intention de reporter ses projets d’avoir des enfants ou d’en avoir moins en raison de la pandémie de COVID-19. Cette tendance pourrait avoir une incidence sur la génération Alpha, laquelle pourrait alors être moins nombreuse que la génération qui a précédé, un peu à la manière de la génération X qui se trouve à être moins nombreuse que celle des baby-boomers.

Personnes de 15 à 64 ans : une personne sur trois est un millénarial

Les millénariaux constituent la génération comptant le plus grand nombre de personnes au sein de la population en âge de travailler (15 à 64 ans). Puisque chaque génération adopte des valeurs et des attitudes distinctes en plus de se situer à un stade différent dans la vie, cela peut avoir des répercussions sur le marché du travail, notamment à l’égard de la recherche d’un équilibre entre le travail, la famille et les loisirs, de la loyauté au travail, de la rétention des employés ainsi que de la souplesse exigée dans les horaires de travail.

Selon le Recensement de 2021, des 23 957 760 Canadiens qui composaient la population en âge de travailler, 33,2 % étaient des millénariaux, 29,5 %, des membres de la génération X, 19,7 %, des baby-boomers et 17,6 %, des membres de la génération Z.

Les premiers baby-boomers ont atteint en 2011 l’âge de 65 ans, qui marque souvent le départ à la retraite. Dès le Recensement de 2016, assez de baby-boomers avaient atteint l’âge de la retraite pour permettre aux millénariaux de les dépasser en tant que génération la plus importante au sein de la population en âge de travailler (31,3 % par rapport à 30,3 % en 2016).

Les baby-boomers, aujourd’hui plus âgés, voire déjà retraités pour nombre d’entre eux, continuent de participer activement à la société canadienne, en faisant notamment du bénévolat et en aidant leurs proches et leur collectivité. Ils sont aussi de plus en plus nombreux à demeurer actifs sur le marché du travail même au-delà de 65 ans.

Lorsque l’ensemble des baby-boomers aura plus de 65 ans (soit en 2031), les millénariaux pourraient alors représenter 34,6 % de la population âgée de 15 à 64 ans et constitueraient toujours la majorité de la population en âge de travailler, devant la génération Z (31,5 %).

Ces changements générationnels signifient que le marché de l’emploi canadien devra continuer de s’adapter aux différentes valeurs et attentes de ces diverses générations. Les plus jeunes générations sont notamment plus scolarisées et maîtrisent mieux les nouvelles technologies. Selon des études, ces jeunes générations ne trouvent plus le travail aussi valorisant que les générations plus anciennes, et cherchent aussi à se réaliser ailleurs que dans une activité professionnelle.

Nombre plus élevé de millénariaux que de baby-boomers en Alberta, au Yukon, dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut

Bien que les baby-boomers demeurent la génération comptant le plus de personnes au pays, la part qu’occupe chacune des générations au sein de la population totale varie d’une province et d’un territoire à l’autre. Il est important de considérer ces différences lors d’exercices de planification des réseaux scolaires ou des services de soins de santé et de soins à domicile, par exemple.

Les millénariaux sont proportionnellement plus nombreux que les baby-boomers en Alberta (23,3 % par rapport à 21,4 %), au Yukon (25,0 % par rapport à 24,2 %), dans les Territoires du Nord-Ouest (25,2 % par rapport à 19,2 %) et au Nunavut (24,1 % par rapport à 10,6 %). Ces régions présentent des populations plus jeunes en moyenne que les autres régions canadiennes, notamment en raison d’une fécondité plus élevée qu’ailleurs. La structure par âge des migrants interprovinciaux contribue également à rajeunir la population de l’Alberta.

Plus de 30 % de la population de Terre-Neuve-et-Labrador est composée de baby-boomers, un sommet parmi les provinces et les territoires. Cette province présente aussi la population la plus âgée au Canada. À l’inverse, seulement 10,6 % de la population du Nunavut fait partie de la génération du baby-boom.

Ensemble, les générations de l’entre-deux-guerres et grandiose, soit les deux générations comptant les personnes les plus âgées, représentent plus de 8 % de la population de Terre-Neuve-et-Labrador (8,6 %), de l’Île-du-Prince-Édouard (8,1 %), de la Nouvelle-Écosse (8,7 %), du Nouveau-Brunswick (8,8 %), du Québec (8,5 %) et de la Colombie-Britannique (8,2 %).

La proportion de la population constituée par les générations Alpha et Z (c’est-à-dire les deux générations comptant les personnes les plus jeunes) est à son plus haut niveau au Manitoba, en Saskatchewan, en Alberta, dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut. Au Nunavut, près d’une personne sur deux (48,0 %) fait partie de l’une de ces deux générations, ce qui représente un sommet au pays.

Une proportion importante de la population vivant dans les territoires a déclaré une identité autochtone. Or, la fécondité de certains groupes autochtones est plus élevée que celle du reste de la population canadienne. En outre, l’espérance de vie dans les territoires est plus faible qu’ailleurs, notamment en raison de conditions de vie différentes. Ces facteurs expliquent donc, en partie, la plus forte proportion de jeunes générations dans ces régions.

Les données du Recensement de 2021 portant sur les Premières Nations, les Métis et les Inuits, qui seront diffusées le 21 septembre 2022, permettront de brosser un portrait des populations autochtones du Canada.

Pour la première fois, davantage de millénariaux que de baby-boomers dans les grands centres urbains de Toronto, de Montréal, de Vancouver et d’Ottawa–Gatineau

Les grands centres urbains du pays (aussi appelés régions métropolitaines de recensement ou RMR) présentent des populations plus jeunes que les autres régions, une croissance démographique en moyenne plus élevée, ainsi qu’une plus grande diversité ethnoculturelle.

Les millénariaux (23,3 %) sont plus nombreux que les baby-boomers (22,3 %) dans les six grands centres urbains de plus d’un million d’habitants du Canada, à savoir Toronto, Montréal, Vancouver, Ottawa–Gatineau, Calgary et Edmonton. Il s’agit du premier recensement où l’on observe ce phénomène pour les grands centres urbains de Toronto, de Montréal, d’Ottawa–Gatineau et de Vancouver.

Toutefois, les baby-boomers (24,7 %) demeurent la génération comptant le plus grand nombre de personnes dans les grands centres urbains de moins d’un million d’habitants, devant les millénariaux (21,5 %). La même chose est observée dans les zones hors des grands centres urbains, alors qu’ils représentent 29,7 % de la population, devant les millénariaux (17,9 %) et la génération X (17,6 %).

La vitalité économique élevée des grands centres urbains ainsi que l’apport de l’immigration, qui se concentre dans ces endroits et qui tend à faire augmenter le nombre de millénariaux, contribuent à expliquer ces résultats.

Par conséquent, les grands centres urbains et le reste du pays ont des besoins différents qui reflètent les populations et les générations qui y résident. Par exemple, les six plus grands centres urbains, qui comptent aussi une population plus jeune, ont des besoins particuliers en matière de garderies, d’écoles et de transport en commun pour le navettage. En dehors de ces grands centres urbains, les baby-boomers sont plus nombreux, ce qui génère et continuera de générer des besoins différents sur le plan du transport adapté, des services de soins de santé et de soins à domicile, et de la construction de logements répondant mieux aux besoins de personnes qui passent à la retraite ou de résidences pour personnes âgées.

Centres-villes des grands centres urbains : fief actuel des millénariaux

Les millénariaux sont la génération comptant le plus grand nombre de personnes habitant dans les centres-villes des grands centres urbains, loin devant les autres générations.

En moyenne, les millénariaux représentent plus du tiers (35,1 %) de la population des centres-villes des grands centres urbains. À titre de comparaison, les baby-boomers représentent seulement une personne sur cinq (20,9 %) dans les centres-villes, bien qu’ils composent la génération comptant le plus grand nombre de personnes au pays.

Parce qu’ils abritent souvent des établissements d’enseignement postsecondaire ou de nombreuses entreprises évoluant parfois dans des domaines de pointe comme la haute technologie, les centres-villes sont des lieux particulièrement attrayants pour les jeunes adultes. Ils apprécient aussi le mode de vie urbain qu’on y retrouve, les activités de loisirs et sociales y étant nombreuses.

Des défis peuvent aussi être associés à la vie dans les centres-villes, notamment l’accès au logement, le transport en commun, la sécurité ainsi que le développement durable et socialement responsable (lien en anglais seulement).

Le choix de s’installer dans un centre-ville est donc souvent lié au stade de la vie que traverse une génération plutôt que le fait d’appartenir à une génération particulière. En 2021, ce sont les millénariaux, composés de groupes d’étudiants de niveau postsecondaire et de jeunes professionnels, qui habitent en plus forte proportion dans les centres-villes.

La moitié de la population du centre-ville de Calgary fait partie de la génération des millénariaux, un sommet au pays. Le centre-ville de Calgary est aussi l’un des centres-villes ayant connu l’accroissement démographique le plus soutenu entre 2016 et 2021.

Plus de deux personnes sur cinq sont des millénariaux dans les centres-villes de deux autres grands centres urbains : Halifax (43,7 %) et Toronto (40,5 %).

La plus forte concentration de baby-boomers se trouve dans le centre-ville de Nanaimo (30,5 %), soit le deuxième centre-ville le moins populeux au Canada.

En comparaison, la génération de l’entre-deux-guerres, née entre 1928 et 1945, est plus fortement représentée hors des grands centres urbains (8,6 %) que dans les centres-villes (7,0 %). Cette génération représente 7,3 % de la population canadienne.

La génération Alpha, soit les personnes nées entre 2013 et 2021 et âgées de 8 ans ou moins, représente 5,8 % de la population des centres-villes alors qu’elle compose 8,6 % de la population canadienne. Les types de logements disponibles dans plusieurs centres-villes, qui sont souvent plus petits et plus dispendieux que dans les banlieues, peuvent moins bien convenir à de jeunes familles. Les données sur les familles et les ménages du Canada, qui seront diffusées le 13 juillet 2022, permettront d’en savoir plus sur ce sujet. 

Regard vers l’avenir : une étude plus approfondie des caractéristiques des générations

Les prochaines diffusions des données du Recensement de la population de 2021 permettront d’enrichir le portrait sociodémographique des différentes générations au Canada. Quels sont les besoins en matière de soins de santé émergents chez les générations les plus âgées? Comment la diversification de la population canadienne se reflète-t-elle au sein des différentes générations? Quels sont les défis auxquels sont confrontées les jeunes générations en matière d’accès au logement? Les prochaines données diffusées permettront de mettre en lumière ces enjeux et bien d’autres encore.

De plus, les estimations démographiques seront utiles pour surveiller les tendances démographiques entre les recensements et les répercussions de la pandémie de COVID-19 sur la population de chaque génération.

Renseignements supplémentaires

Une analyse supplémentaire sur l’âge, le genre et le type de logement est présentée dans l’article du Quotidien intitulé « Alors que les postes vacants sont nombreux et que le taux de chômage est à un niveau historiquement bas, le Canada fait face à une vague record de retraites au sein d’une main-d’œuvre qui vieillit : le nombre de personnes de 65 ans et plus a crû six fois plus vite que celui des enfants de 0 à 14 ans » et l’article de la série Recensement en bref intitulé « Portrait de la population croissante des personnes âgées de 85 ans et plus au Canada selon le Recensement de 2021 », n^o 98-200-X au catalogue.

Il est possible de trouver des renseignements supplémentaires sur l’âge, le genre et le type de logement dans les Tableaux de données; le Profil du recensement, n^o 98-316-X au catalogue, et la Série « Perspective géographique », n^o 98-404-X au catalogue.

Des cartes thématiques sont également offertes pour diverses régions géographiques.

Pour obtenir plus de précisions sur les définitions, les variables et les concepts utilisés dans le cadre du Recensement de la population de 2021, veuillez consulter le Dictionnaire, Recensement de la population, 2021, n^o 98-301-X au catalogue.

En plus des taux de réponse et d’autres renseignements relatifs à la qualité des données, le Guide du Recensement de la population, 2021, n^o 98-304-X au catalogue, présente un aperçu des diverses phases du recensement, notamment la détermination du contenu, le plan d’échantillonnage, la collecte, le traitement des données, l’évaluation de la qualité des données, les règles de confidentialité ainsi que la diffusion.

Remerciements

Le présent rapport a été rédigé par Arnaud Bouchard-Santerre, Julien Bérard-Chagnon et Laurent Martel du Centre de démographie de Statistique Canada, avec l’aide d’autres membres du personnel de ce centre et la collaboration des membres du personnel du Secrétariat des domaines spécialisés du recensement, de la Division des opérations du recensement, de la Direction des communications et de la Direction de l’accès aux données de la diffusion.